Premières images du retour après 14 heures de vol Sud-Nord et 7,5 heures de vol Est-Ouest le lendemain. À cela, il faut ajouter deux grosses heures de route en compagnie de Johanne. Ici, prendre le courrier de deux mois à la main ne signifie pas «dépouiller» le courrier. De grâce, chers créanciers, que l'on m'accorde quelques jours pour me remettre...
Voici un homme visiblement satisfait de rentrer chez lui, quand même. Après un voyage à propos duquel il ne cesse de répéter (pourtant!) qu'il l'aurait bien prolongé un peu. Question de voir Mafate de plus près, Grand Bassin et plusieurs autres destinations qui l'auront laissé sur son appétit.
Que la vie reprenne son cours, rien de plus normal. Après une mise entre parenthèses pour quelques jours de mes belles habitudes de vie active prises à la Réunion, me voici de nouveau d'attaque. Si le premier ne fait pas le mois, le trois le fait, dit l'expression. Mais le premier peut donner le ton. En ce dimanche, premier mars : Patinage de 1½ heure sur «la plus longue patinoire au monde» en compagnie de la plus animée de mes amies, l'irremplaçable Myriam Gagnon.

Après son départ, retour sur Montréal, il était encore trop tôt pour me mettre à cuisiner et m'asseoir à l'ordi. C'est ainsi qu'un petit détour à la piscine, où j'ai pu agéablement combiner mes quarantes longueurs avec la lecture de mon journal préféré, s'est avéré une excellente décision. Sans oublier le sauna et le spa. La vie est belle quand même. Et comme se plaît à le répéter à souhait Alain Bashung : «Ma petite entreprise ne connaît pas la crise». Je souhaite seulement que ce poète-musicien soit meilleur visionnaire que les meilleurs économistes de notre temps.

FIN DU VOYAGE
Le retour est bien entamé, il me reste toutefois à mettre en ligne de nombreuses photos de
Hell-Bourg, ce village du cirque de Salazie qui mérite certainement à lui seul tout un «posting». Ce sera le prochain.
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Et puis, au final, il aura vu son petit-fils.
Ouf, il a bien changé depuis mon départ... mais il m'a reconnu.
Me croiriez-vous si vous disais que cette photo le montre au moment où, à ma vue, il s'est élancé vers moi pour que je le prenne dans mes bras ? Je vous entends me répondre qu'aujourd'hui ce n'est pas le premier avril mais le premier mars! Bon.
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